THÉÂTRE DE LA MÉDITERRANÉE
LES SPECTACLES
du Centre Dramatique Occitan
MOI, GASTON DOMINICI, ASSASSIN PAR DÉFAUT
La plus mystérieuse des affaires criminelles en Provence
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LE VENIN DU THÉÂTRE
Une pièce de Rodolf Sirera
Le sujet
A la lueur des candélabres qu'un domestique allume lentement un à un, le salon apparaît. Entièrement doré. Doré comme l'est la fiction au théâtre. Noir comme pourrait l'être le théâtre s'il se mettait à quitter la fiction pour aller jusqu'au bout de ce qu'il annonce, jusqu'à la lie de son venin. Et ce soir le Marquis misera sur le noir. Gabriel de Beaumont, comédien adulé du public est là (mais il ne le sait pas encore) pour donner au Marquis l'interprétation théâtrale juste et authentique, parfaite et unique.Quand un Marquis sadique attente à la définition même de l'art théâtral, jusqu'où peut être vraie la vérité d'un « grand » comédien, qu'il joue avec sa technique de « vrai professionnel » ou avec sa seule angoisse d'homme ?
Véritable leçon de théâtre, l'œuvre de Rodolf Sirera donne une acuité et une intensité toute particulières au « Paradoxe sur le comédien », cher, depuis Diderot, à tous ceux qui s'interrogent sur l'art de l'acteur.D'une construction implacable au climat pesant qui frôle l'angoisse, au suspense digne d'un thriller, "Le venin du théâtre" est aussi un très beau texte philosophique tout à la fois sur l'essence même du théâtre, la fiction et la réalité.
Notre venue peut aussi être l’occasion d’organiser des représentations scolaires. Des milliers d’élèves des classes du premier et du second cycle ont été passionnés, depuis sa création, par le spectacle, par les rencontres avec les comédiens avant les représentations et par les débats à l’issue du spectacle.
La Presse
« Duo superbe et fort, pour ce Venin du théâtre de Rodolf Sirera, qui nous procure un grand, un vrai plaisir ». Nice Matin
« Une pièce où l'intérêt grandit au fil des minutes et c'est rare ». Var Matin
« On quitte la salle, la tête pleine d'interrogations, en noir et en or, comme le décor... envoûté par l'atmosphère troublante de la pièce et sous le charme de la superbe musique de Michel Montanaro ». Nice Matin
« Le texte, très beau et captivant, est signé d'un auteur espagnol révélé par le "Off", Rodolf Sirera ». La Provence
« La mise en scène et l'interprétation serrée d'André Neyton prennent le spectateur aux tripes, dans le déroulement d'une action s'adressant à la tension dramatique et à l'intelligence ». La Marseillaise
La Distribution
Mise en scène : André Neyton. Assistant mise en scène : Sophie Neyton. Avec : Thierry Belnet, André Neyton. Lumières : Michel Neyton. Costumes : Isabelle Denis. Musique : Miquèu Montanaro. Traduction : Josyane Ferrié. Décor : Franz Merckel
LA LÉGENDE NOIRE DU SOLDAT O
Ce Spectacle a obtenu le Label de la Mission du Centenaire*
Le sujet
Une pièce de théâtre inspirée de faits réels, du vécu de soldats provençaux, de l’appel à la mémoire populaire et d’écrits de grands écrivains français du XIXe et du début du XXe siècles.
En célébrant le centenaire de la guerre de 1914-1918, la France rendra hommage à tous ceux qui ont enduré les pires souffrances et qui ont laissé la vie dans cette première guerre mondiale. Cet anniversaire sera l'occasion de rappeler les causes d’une des plus grandes tragédies de l’histoire et ses conséquences dont certaines, parfois inattendues, ajoutèrent la souffrance morale d’une population à celle de ses soldats.
Pour le Midi, c’est incontestablement le cas de l'affaire du XVème Corps, de ses fusillés pour l’exemple et de leurs familles, qui mérite d’être rappelé.
La Légende Noire du Soldat O porte témoignage de leur injuste destin à travers celui du soldat Auguste Odde fusillé le 19 septembre 1914 comme le furent plusieurs de ses compagnons d’armes pour le seul fait d’avoir appartenu au Corps d’armée du Midi.
(* distingue les projets les plus innovants et les plus structurants pour les territoires. Les projets labellisés figureront sur le programme national officiel des commémorations du Centenaire)
Le spectacle a été créé en novembre 2004 à l’Espace Comedia à Toulon
La Presse
« Il faut courir voir "La légende noire du soldat O". Non seulement pour redécouvrir l'affaire scandaleuse du XVe Corps, ce corps d'armée provençal injustement accusé de lâcheté en 1914 et le destin tragique du soldat Odde, fusillé pour l’exemple, mais pour comprendre comment un siècle d'hystérie ethnique et politique anti-méridionale put justifier la manipulation du Gouvernement et de l'armée. Avec une grande économie de moyens, qui produit une efficacité théâtrale des plus grandes, servie par quatre comédiens de qualité, Neyton mêle la réalité et le rêve, le front et la maison, l'écrit raciste séculaire et le drame présent. Une réussite. » René Merle - La Marseillaise
« Une pièce bouleversante, remarquablement mise en scène et interprétée. Dans sa pièce, André Neyton livre une histoire tragi-comique remplie d’émotion. Toute en subtilité. Le militaire écrit à sa famille entre deux obus ; la Madelon l’exhorte au combat ; dans les salons parisiens, les bien-pensants tissent le drame d’un racisme méconnu. » Var Matin
« Alternant chants patriotiques en direct, projections d’images de guerre sur un écran en fond de scène, et actions, ce spectacle, très bien conçu, porté par quatre beaux comédiens va droit au cœur. Mêlant humour (souvent) noir et gravité du propos, il ne se laisse pas oublier. » La Provence Avignon
La Distribution
Texte et mise en scène : André Neyton
Avec : Alain Aparis, Blanche Bataille, Xavier Laurent, et Jacques Maury
Musiques : Miquèu Montanaro
Scénographie : Suzanne Laugier
Création éclairages : Michel Neyton
Création costumes : Isabelle Denis
Création vidéo : Claude Ciccolella, P'Silo
Banque d'images : ECPAD
Conception graphique de l'affiche : Agence Beau Monde
Les Faits
- Trois août 1914
Déclaration de guerre entre la France et l'Allemagne. La stratégie du Grand Quartier Général repose sur "l'attaque à outrance" contre un ennemi solidement retranché sur les frontières de l'Alsace et de la Lorraine depuis 1870.
- Vingt août 1914
La retraite est générale sur tous les fronts. Les pertes sont énormes. L'échec de cette stratégie est total. L'Etat Major cherche alors un bouc émissaire.
- Vingt-quatre août 1914
Paraît dans le journal Le Matin un article signé Auguste Gervais vraisemblablement rédigé par le Ministre de la Guerre :
« ... Un incident regrettable s'est produit. Une division du XVème Corps composée de contingents d'Antibes, de Toulon, de Marseille, d'Aix et de Nîmes, a lâché pied devant l'ennemi. Les conséquences en ont été celles que les communiqués officiels ont fait connaître. Toute l'avance que nous avions prise au-delà de la Seille sur la ligne Alaincourt-Delme et Château-Salins, a été perdue. Tout le fruit d'une bataille-combinaison stratégique longuement préparée a été momentanément compromis, malgré les efforts des autres corps qui participaient à l'opération et dont la tenue a été irréprochable. La défaillance d'une partie du XVème Corps a entraîné la retraite sur toute la ligne. Le ministre de la Guerre, avec sa décision coutumière, a prescrit les mesures de répression immédiates et impitoyables qui s'imposaient... A l'aveu public de l'impardonnable faiblesse des troupes de l'aimable Provence surprises par les effets terrifiants de la bataille et prises d'un subit affolement, s'ajoutera la rigueur des châtiments militaires … ».
L'affaire du XVème Corps était née. A l'humiliation de toute une population allaient s'ajouter exécutions pour l'exemple, rejet des soldats provençaux, refus de soigner les blessés et lourdes brimades. La réhabilitation du XVème Corps et l'amende honorable qui suivirent n'effacèrent pas les effets d'un racisme anti-méridional ambiant.
Boulevards, places, avenues perpétuent dans plusieurs villes du Midi la mémoire de ce Quinzième Corps d'Armée accusé de lâcheté au début de la guerre pour la seule raison qu'il était composé de provençaux et de corses.Un formidable effet de stupeur avait alors saisi la Provence partagée entre la douleur et l'indignation. Malgré la réhabilitation officielle du Soldat Odde, fusillé pour l'exemple, la plaie demeurera longtemps ouverte.
Le Propos
Pourquoi le soldat O est-il mort ?
Pas au bout des fusils de l’ennemi comme il est naturel selon les lois de la guerre. Mais tombé sous les balles de ses frères d'armes. Pas par le hasard tragique d'une erreur de tir comme il en existe naturellement dans toute guerre qui fait de son mieux et n'y parvient pas toujours. Mais dans le calme terrible et ordonnancé d'un peloton d'exécution.
A qui le soldat O doit-il de n'avoir pas eu le temps de montrer le courage et la loyauté qu'il s'était promis face à l'ennemi ? A Montesquieu ? Michelet ? Victor Hugo ? Balzac ? Taine ou Daudet... ? Pas encore à Céline ou Alexis Carrel. L'ombre de nos grands écrivains n'a-t-elle pas scellé par avance le sort du soldat O ? L’immense poids de leur renommée n’a-t-il pas eu sa part de responsabilité dans son destin tragique?
Sur un fond de légèreté va-t-en-guerre entretenue par une Madelon exaltant le courage des "piou-piou de Provence", le Soldat O écrit entre deux obus. Il parle du trou creusé et recreusé dans la boue pour s'enterrer, des godasses qu'il a empruntées à celui qui n'en avait plus besoin - « il a fallu chercher pour enlever la deuxième à l'autre pied, un peu plus loin » - du dernier colis, du papier à lettres qui ne supporte pas la pluie d'ici.
La Madelon, omniprésente, le remet debout par la magie de son exhortation aux charmes débordants. Pendant que le soldat O raconte, des images défilent derrière lui. Celles d'une caméra qui fait ses premiers pas dans la vérité de la guerre. L'image bascule. L'opérateur n'a peut-être pas vu venir l’obus qui… On appelle le soldat O. Pour la relève ou pour monter à l'attaque? Il reviendra dans son nid de poule, blessé au pied.
Le Soldat O sera donc fusillé.
Alors le soldat O se souvient. Il se souvient, puisque cela a été écrit, qu'il ne peut être qu'un lâche parce qu’il est du Midi. Il va alors se prêter, dans un procès tragi-comique, au jeu de l'ethnotype méridional auquel il était condamné par avance, un procès conduit par les plus emblématiques de nos grands écrivains, philosophes, historiens qui, à travers leurs écrits sur le Sud, sont étonnants de mépris, d'ironie voire d’hostilité. Un procès qui suscite des rires parfois grinçants et ébranle les gloires les plus immortelles.
DU BEURRE DANS LES RUTABAGAS
Pour célébrer le 70e anniversaire de la Libération
Le sujet
On est en 1943 dans une petite ville de Provence.
Francis s’est engagé dans la Résistance, tout naturellement. Maryse, sa soeur, découvre les horreurs de la collaboration quand sa meilleure amie d’enfance est enlevée avec ses parents juifs par des français. Elle se donne pour mission de la venger et entre dans la Résistance.
Raymond, son mari, permet à toute la famille de manger à sa faim. Marché noir ? Combines de bureau ? Des petits arrangements aux grandes trahisons, où commence la faute ? la culpabilité ? Chacun s’interroge.
Une famille comme beaucoup d’autres sous l’occupation. Affrontements entre visions du monde opposées, entre ordre et liberté, égoïsme et sacrifice.
Spectacle Tout Public. Durée : 1h20
Le spectacle peut être accompagné de la projection du film documentaire sur la Résistance “Il le fallait”
La Presse
« ... Aucune forme de facilité mais cette conviction que la conscience humaine, à travers des époques au demeurant bien différentes, se doit d’avoir une filiation déterminée, claire et courageuse /…/ Chez Neyton, l’art dramatique n’est jamais loin de l’engagement, tout comme la fiction et la comédie n’ont d’autre finalité que d’éclairer plus encore les vraies choses de la vie. Après les insurgés varois de 1851, l’apport de la Provence à la Révolution française, les fusillés de la Grande Guerre, les victimes de l’obscurantisme catholique, c’est aux humbles et héroïques résistants sous Vichy qu’André Neyton rend non pas un simple hommage mais plutôt et à vrai dire la justice qu’ils méritent /.../ chez lui, pas de bons, pas de méchants, aucune forme de facilité /.../ les comédiens servent un texte dépouillé avec brio et sobriété ». La Marseillaise
« Par petites touches, la pièce aborde tous les aspects de cette atmosphère délétère où la suspicion des uns et des autres crée des affrontements entre des visions opposées du monde, entre égoïsme et esprit de sacrifice.Texte et mise en scène signés André Neyton sont convaincants. La musique est composée par Miquèu Montanaro. Lumière et costumes participent efficacement à l’ambiance sombre de la guerre ». Var Matin
La Distribution
Texte et mise en scène : André Neyton
Avec : Philippe Chuyen, Christiane Conil, André Neyton, Sophie Neyton, Thierry Paul, et Franck Vidal.
Musique : Miquèu Montanaro
Scénographie : Yannick Lemesle
Eclairages : Michel Neyton
Costumes : Isabelle Denis
IL LE FALLAIT
Film Documentaire sur la Résistance en Provence
Le sujet
Ce film documentaire de 1 heure 26 minutes a été réalisé à partir de témoignages de résistants du Var, accompagnés d’interventions de l’historien Jean-Marie Guillon.
Le sabordage de la flotte et le débarquement de Provence ont quelque peu occulté l’existence et l’importance de la Résistance dans le Var. Cette constatation est à l’origine du film.
Celui-ci s’attache surtout à comprendre comment ces hommes et ces femmes, qui ont « fait » la Résistance, ont vécu cette période extrême de leur vie. Ils ont aujourd’hui entre 80 et 93 ans. Ils nous parlent avec une sincérité surprenante de leurs motivations, de leurs rapports avec l’entourage, de leurs peurs, de leurs haines, de leurs cas de conscience et, parfois pour la première fois, de ce qu’ils ont été amenés à commettre. Des témoignages qui démythifient l’image monolithique de la Résistance qu’un demi siècle a forgée .
Même s’ils parlent parfois avec une légèreté déconcertante, la force de leur parole est toujours émouvante. Ce qu’ils racontent, ils l’ont vécu. Mieux : ils l’ont fait. Parce qu’il le fallait.
La Presse
« André Neyton a parfaitement atteint son objectif. Et même au-delà. Attaché à raconter la résistance avec un petit « r », à expliquer qu’il existait sans doute autant de raisons de rejoindre le maquis que de résistants, André Neyton participe à une démythification volontaire et assumée de la Résistance. Son documentaire nous montre des antihéros avec leurs peurs, leurs doutes, leurs démons, leurs réactions souvent violentes, mais tellement humaine face à l’envahisseur allemand, aux collabos ou à la milice. Un beau documentaire que l’on espère un jour voir diffuser par une télévision plus intelligente… ». Var Matin
Nota
A la demande de structures culturelles, de Communes ou d’associations, il est possible d’organiser des projections du film “Il le fallait” en présence du réalisateur. Ces projections peuvent accompagner le spectacle " Du Beurre dans les Rutabagas", notamment en direction du public scolaire.
Générique
Réalisation: André Neyton
Assistante : Sophie Neyton
Cadreurs : Didier Terrade et Pierre Giraud
Montage : Didier Terrade
Musique : Michel Montanaro
Production : CDO
Partenariat : Les Têtes de l’Art-Marseille
LE FILM
Vidéo
OCCITANIA FOR EVER
Parcours dans l’oeuvre théâtrale de Robert Lafont
Le sujet
C’est sous forme d’une mosaïque réunissant différentes œuvres de Robert Lafont mais aussi diverses formes d’expression artistique (tragédie, comédie, musique, projections, notes sur l’auteur…) que ce spectacle original nous fera voyager depuis la magnifique histoire du troubadour Peire Vidal amoureux de la Louve de Pennautier, jusqu’aux moments de bravoure délirants d’un « Dom Esquichote » vengeur d’une Provence agressée, non par des moulins à vent imaginaires, mais par des ennemis bien réels inventés par la société capitaliste…
Sur le chemin, nous rencontrerons Raymond VII, contraint d’abandonner le combat contre les Français pour sauver le peuple de Toulouse (« La croisade »), ou encore un Richelieu imposant la mise en place d’un pouvoir central conquérant et implacable, dans une comédie (« La Révolte des cascavèus ») évoquant les malheurs d’un peuple victime de l’union des classes …
Enfin, « Per joia recomençar » (créée en 1966 à Fox-Amphoux), que Robert Lafont désigne lui-même comme le début d’un théâtre bilingue de combat, nous rappellera le drame de la société occitane à travers le conflit représenté des langues…
Sans oublier le très beau texte écrit pour le spectacle « Oc » créé en 1970, ce parcours théâtral sera émaillé de notes remettant en situation chacune des oeuvres, ou de précisions de l’auteur sur leur opportunité en cohérence avec son combat pour l’Occitanie.
La Presse
« Dimècres 7 de julhet, 21oras, au Teatre dau Périscope, a Nimes, serà donat dins lo quadre l’Universitat Occitana d’Estiu, la premiera de l’espectacle dau Centre Dramatic Occitan, « Occitània for ever », qu’es un viatge dins l’òbra teatrala de Robèrt Lafont. Mes en scéna per Andrieu Neyton, aquel espectacle es un omenatge à Robèrt Lafont dramaturg que liguèt tota sa cracion teatrala a son engatjament occitan. Sota lo biais d’una mosaïca que recampa seis òbras mai importantas dins de formas artisticas divèrsas, « Occitània for ever » es un viatge despuei l’aventura patetica dau trobador Pèire Vidal dins « La Loba » fins a l’imaginari delirant d’un « Dòm Esquichòte » revenjaire d’una provença acairada per d’enemics que son pas de molins de vent ! Dins aquela passejada retrobarem « Lei Cascavèus », « La Crosada » e « Per jòia recomençar », pèça que marca la començança d’un teatre occitan bilingüe de lucha. L’espectacle es bastit sus un chausida de scènas de cada òbra e de comentaris o de nòtas l’autor sus son oportunitat en coeréncia ambé on combat per Occitània. L’espectacle dura aperaqui une ora e mieja ; virarà après aquesta representacion e serà presentat a l’Estivada de Rodés lo 30 de julhet. » Mesclum – La Marseillaise
Robert Lafont
Linguiste, historien, romancier, écrivain politique, Robert Lafont est également poète et dramaturge, auteur de plus de vingt pièces de théâtre, dont plusieurs ont d’ores et déjà été portées à la scène par le Centre Dramatique Occitan.
André Neyton a souhaité rendre un hommage particulier à un auteur pour qui la création artistique et l’engagement pour la « cause » occitane sont indissociables.
Distribution
Mise en scène : André Neyton
Avec : Xavier-Adrien Laurent, André Neyton, Sophie Neyton, Thierry Paul
Eclairages : Michel Neyton
Costumes : Isabelle Denis
Nota
Le spectacle a été créé en juillet 2010 à Nîmes
Durée : environ 1h15
Quatre comédiens
Texte en Oc et en Français, surtitré quand nécessaire
Théâtre de la Méditerranée - BP 713, 83052 Toulon cedex - Tél. : 04 94 36 19 16 - Licence 2135208